Le monde êtrange de Onibi.

Je suis aspirée dans un trou noir, qui, je le savais, emmenait dans un monde aux libertés de pensées totalement illimitées. Cela car il est un rêve continu, voir immortel si notre cœur reste dans ceux des gens qui nous aimes, qui m'appartient totalement. Ce n'est pas comme les misérables petits hébergements offert par le sommeil, qui vacille au moindre intrus y pénétrant, comme lorsque qu'un hébergeur d'image bug. Ce rêve là est mon monde intérieur, dans un cœur qui m'est omniprésent, protégé par de la chair et du muscle, habituellement matériel, mais ici, que spirituelle. Un monde qui se retapisse au seul gré de mes gouts et de mes envies.

Dans ma chute, j'atterris sur un dès transparent avec un bruissement de tissus d'une robe verte aux bords brodés de blanc, dont le haut était maintenu par un corset noir lassé. Dans le reflet d'un autre de ces cubes, j'aperçus vaguement mes formes, de petite contrairement à d'habitude, et la couleur blanche de mes cheveux, trône d'une petite couronne que je m'empressai de toucher en m'asseyant sur le rebord de mon moyen de locomotion.

Plus je descendais, plus je pouvais voir le contenue d'une vaste salle éclairée par des citrouilles découpées pour former des visages mi-effrayants mi-amusants, qui planaient, produisant des ombres mouvantes sur des murs souvent recouverts de rosiers aux épines rouges, de portes de différentes formes et couleurs, ainsi que d'autres objets qui se déplaçaient en l'air, tel que ces sucreries, des peluches, des cartes de jeu et toujours ces dès transparent qui, cette fois ci, enfermait tout ce que je n'aimais pas, comme cette multitude d'insecte grouillant dans une de ces caisses, et qui disparaissaient dans un éclat de confettis.

Cette salle était certainement la principale, comprenant le principal de mes pensées. Mais j'avais encore beaucoup à découvrir derrière cet amalgame de portes, presque entassées les unes sur les autres.

Après une dure journée de travail, je m'endormis et décidai de ne point entrer dans mes rêves. Je craignais de me faire attaquer par des baccalauréats de français enragés. On n'est jmais trop prudent, vous savez comme c'est violent, les devoirs de français...
Aussi commençais-je, désoeuvrée, à me balader dans la zone sans-sommeil d'Entre-les-Rêves. Une bulle brillante attira mon attention. Ce rêve sentait les lancés de dés. Non pas que le moindre bruit s'en échappât... Non, il dégageait juste une aura qui faisait penser à bruit de dés roulant sur une table de jeux. Et il avait la couleur du roulement de ces cubes à jouer. Des dés pipés, d'ailleurs. Un songe de tricheur. Ou de tricheuse. Mais chanceux quand même. On sentait beaucoup de six.
Je touchai délicatement la petite bille d'un doigt prudent pour en sonder la température. Il faisait bon, ni trop chaud, ni trop froid. Je souris et, me concentrant, plongeai dans la bulle qui n'était pourtant pas plus grosse qu'une bille de taille moyenne. Ne me demandez pas d'explications. C'est comme ça, point c'est tout.
Atterrissant délicatement sur mes pieds -sans me tordre la cheville, cette fois- sur un cube de verre cristalin, marqué sur chaque face d'un nombre, bien entendu de un à six. Des dés comme cela, il y en avait beaucoup. Des milliers peut-être. Et ils bougeaient ! Pas comme de vulagires dés qui rouleent ; non ; ceux-ci lévitaient, avançaient lentement chacun vers une destination connue de lui seul -ou du propriétaire de cet endroit, peut-être. Je m'assis au bord du mien. Il descendait, s'enfonçant dans un gouffre éclairé par des lanternes d'halloween. Je vis défiler toute une collection d'étrangetés sur les murs et autours de moi. Je vous ferai grâce de l'inventaire, mais préciserait tout de même que cela allait des magnifiques roses rouges aux insectes qui, emprisonnés dans ces magnifiques blocs transparents qu'on voyait à perde de vue, les privaint de leur apparence de pureté. Sans oublier d'innombrables cartes à jouer, et les confettis qui avaient remplacé les insectes pendant que j'avais le dos tourné...
Je crois que ma résolution de vous épargner est maintenant dépassée.
Et puis d'abord, pourquoi pensais-je ainsi ? Je n'étais pas en train d'écrire une rédaction ! Ce maudit sujet de français me poursuivait jusqu'ici !
Grommelant, j'attrappai une sucette au citron au vol et la mordillai pensivement pour me calmer. Je n'avais qu'à m'occuper l'esprit ! Chercher le priopriétaire des lieux, tiens ! Quoi qu'il en soit, il -ou elle- avait bon goût en matière de sucreries et de fleurs...
Je me penchai en arrière en m'appuyant sur mes mains et observai ce qui m'entourait. Je sentis brusquement une présence plus loin. Me fendant d'un grand sourire, je me mis à sauter de cube en cube en direction de ma prémonition.
J'atterris, hors d'haleine, sur un dé voisin de celui d'une jeune femme, vraisemblablement la songeuse que je cherchais. Elle était d'une grande beauté, avec de longs cheveux d'un blanc étincelant cascadant harmonieusement dans son dos en une coiffure pour le moins compliquée surmontée d'une petite couronne verte. Elle était vêtue d'une belle robe verte, mais certaines de ses atours me firent froncer les sourcils. Un corset en vinyl et des bracelets résille ? Une perverse, hein ? Enfin, je verrais bien... En tout cas elle devait être monomaniaque du bois de Trèfle. Ses yeux verts m'observaient, ce qui était parfaitement de mise, étant donnée mon intrusion... Je me levai, m'inclinai et déclarai :
_Bien le bonjour à vous. Je me nomme Sassou, et malgré mon incursion, je viens en paix.

je suis en desespoir je voudrais entrer dans les songe d une personne avec qui g rompu car il m as fait du mal, et le faire souffir a travers ses reves comment faire?

"Onoria s'il te plaît pas de langage msn sur le forum. Merci"

Donc pas de reponse a ma demande meme que des remarques futile!!!!

je suis en desespoir je voudrais entrer dans les songe d une personne avec qui g rompu car il m as fait du mal, et le faire souffir a travers ses reves comment faire? A OUI CYDRA VEUT UN J AI

" Il n'y a rien de personnel, mais je me dis que il se doit de respecter les règles d'un forum si tu veux en faire parti. Les fautes d'orthographe je peux accepter cela, même si je pense ne pas en avoir fait beaucoup depuis que je suis ici, mais le langage msn, je te remerciais d'arrêter cela. Je n'ai rien contre toi, au contraire je t'aime bien, mais si tu as bien regarder tous les topiques, tu verras que j'ai dis à Onibi que je serais d'accord sur tous ce qu'elle entreprendra, donc si elle a demander dans les règles et que tu bafoues ses règles, alors tu me trouveras sur ton chemin. Mais maintenant il faudrait que j'arrête de poster sur son topique car le Flood est interdit. Si tu as des questions, je te prierais d'aller sur un autre topique que celui de Onibi. Merci"

Bonjour.
Désolée de ne pas avoir vu votre discutions plus tôt, je ne sais pas où ma messagerie a fait la fête ce jour là.

Onoria :

Bienvenue sur le forum, dommage que je n'ai pas pu le dire dans une éventuelle présentation.
Dommage aussi qu'il n'y est pas non plus la moindre autres traces de politesse, vraiment. Pour répondre à ton message, je dirais qu'une question devrait être postée dans la section pour. Mais puisque l'on y est : faire souffrir quelqu'un par l'intermédiaire d'un rêve, ici, se divise en deux options :
1 : créer un nouveau sujet de rp et entrer dans le rêve de la personne en question normalement.
2: demander à une personne d'incarner le personnage en question afin qu'il le joue dans un nouveau sujet, que la personne, de préférence, ou toi ouvre.

Cydra :

(je dirais de te passer des "guillemets", c'est un peu du genre :
Onibi dit : "Le langage SMS est interdit" ainsi que "ce n'est pas bien"
Un petit mp dans ma boîte aurait presque été préférable)

Même si un être vivant est démuni de lettre pour écrire parfaitement, on va pas ni lui priver la politesse (bonjour, au revoir, bon appétit, bonne nuit, amuse-toi bien, ne tombe pas dans le trou des wc, [COUPE] je m'égare...), ni une réponse.
Merci quand même de ton intervention, je pourrais peut être te mettre modo si ta démarche en était le but, mais il faudrait être plus diplomate.

-----

J'assure au passage que les règles si bien citées ne sont pas sorties du despote hitlérien. Ce sont des principes logiques d'un grand nombre de forum qui se doivent être rappelées