Un portail s'ouvre grâce à ton sommeille. Des portes entourées de noires, grinçantes sur des dalles invisibles, laissent passer ton imagination dans un monde au milieu de tous les autres : la terre, le paradis, l'enfer ; la préhistoire, le moyen-âge, la renaissance et bien d'autres. Dans un univers où tous le monde de toutes les époques peut y entrer, tu peux voyager sans identité dans le vide qui les sépares, afin de créer un songe qui te consumera, ou que tu consumeras, de visiter les rêves et les cauchemars de tes semblables perdus ou habitués. Ces derniers t'influenceront sur tes choix d'appartenance aux différents rôles qui s'offre à toi, t'emmèneront dans des duels aux buts étranges te conduisant à faire preuve d'imagination, d'humour, ou d'intelligence, et te feront danser dans la salle de différents jeux, dangereux ou pas, peu importe : entrer ici est devenir le grand maître de tes mondes et le directeur de ceux des autres.
Dernière édition par Éternel le Mer 22 Déc - 12:21, édité 7 fois
Éternel Admin
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Sujet: Re: Contexte. Mer 20 Oct - 9:09
En un certain endroit était un petit rêve.
Qui a rêvé cela, que sais-je... Mais aussi petit qu'il était :
Le petit rêve pensa, "Je ne veux pas disparaître comme cela, Comment puis-je faire les gens m'observes ?
Le petit rêve réfléchit, réfléchit... Et a finalement trouva une idée.
"Je pourrais inviter les gens à rester prés de moi, Et les laissez façonner le monde. "
La Première Alice était vaillante L'épée à la main, elle s'est aventurée dans le pays merveilleux. Tranchant tout sur son passage, Un sentier de pétales rouges, elle laissa derrière elle. L'Alice au fin fond des bois, comme une criminelle elle fut emprisonnée. Malgrés le chemin qu'elle avait tracé, Personne ne pu la croiser.
Le Deuxième Alice était doux et gentil. Il arriva au Pays Merveilleux en fredonnant Il entonna de merveilleuses notes, Et créa un monde de folie... Mais cet Alice, ce bouton de rose, Qu'un fou tua d'un coup de feu, De la blessure a fleuri une fleur rouge sang, Aimé et adulé de tous, il finit par se faner.
La Troisième Alice était une jeune fille, Aussi belle qu'un ange, elle descendit au Pays des Merveilles, Elle y séduisit le beau monde, Et créa un univers étrange. Cette tendre Alice était la reine du Royaume, Elle fut possédée par un rêve détraqué, Pour le restant de sa vie, avec un corps défaillant, Elle régna à la tête du Pays.
Bien plus tard, 2 enfants ayant suivi le sentier de pétales rouges, Buvaient le thé sous l'arbre aux roses. Une invitation du château leur arriva, L'as de cœur était à l'intérieur...
La Quatrième Alice était 2 jumeaux. Emportés par leur curiosité, dans le Pays Merveilleux, Ils empruntères maintes portes, Et arrivèrent au château en peu de temps. La grande sœur entêtée, Et son gentil petit frère. Même s'ils étaient si proches d'Alice au Pays des Merveilles,
Jamais ils ne quittèrent le rêve, Et errèrent à tout jamais au Pays des Merveilles ...
Dernière édition par Éternel le Mer 22 Déc - 11:28, édité 1 fois
Dans un monde pixelisé Par une créature détraquée, Poussait un jardin désorganisé.
Piétiné, piétiné, piétiné, Par des zombis déchainés. Il fit grandir, proliférer, pousser, Des végétaux affamés.
Pulvérisés, Par des petits pois projetés. Cramés, Par des bubuches emflammées. Bloqués, Par des noix potelées. Explosés, Par des cerises enivrées. Piqués, Par des orties non épilées.
Se voyant ainsi renversé, Les zombis l'on appelé : Celui qui a une taille vers le ciel projetée. Qui tient une masse enflammé. Qui a la corpulence d'une noix potelée. Qui a des yeux enivrés. Qui ne s'est pas épilé. Qui se nome Gargantua.
Qui a rêvé cela ? Que sais-je... A moins que ce sois lui.
Il découvrais, Avec regret... Sa grande imagination.
Il subissait, Avec regret, La douleur de ses créations.
Aussi petit qu'il était, Le rêve le téléportait.
Sur le dos du jeune Gargantua, Une poubelle se montra. Dans le dos du grand Gargantua, Il se téléporta. Avec le fort Gargantua, Il vaincra !
Le petit rêve réfléchit, réfléchit... Et finalement dit : Ou pas !
Dernière édition par Éternel le Mer 22 Déc - 11:28, édité 1 fois
Éternel Admin
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Sujet: Re: Contexte. Mer 22 Déc - 11:27
En un certain endroit était une folle. Elle s'approchait de moi : l'admin : Pauvre lapin dans ce songe froid.
Court, court, court la jeune fille blonde entourée de noir. Court, court, court dans la vague obscurité du soir. Court, court, court, l'oeil aux aguets derrière elle et devant, Court, court, court, l'ai féroce : elle a vu un lapin blanc.
Rit, rit, rit, s'arrête brusquement et rit violemment. Rit, rit, rit, le sourire, mauvais, et l'oeil : dément. Rit, rit, rit, le visage d'ange à l'expression, Riante, riante, sadique, celle d'un démon.
Lentement elle s'approche, vivant cauchemar. Exposant son machiavélisme sans fard, Elle saisit la douce fourrure immaculée, Et soulève la petite bête terrorisée.
Elle monte tranquillement sa main chargée De l'animal, apeuré et impatienté, Et à son oreille souffle un murmure terrible et fou : "Coucou ! Tu veux bien m'inscrire au duel de cauchemars, s'te plaît ? Tu s'ras chou !"
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Sujet: Re: Contexte.
Contexte.
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